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OctLes motos sont concernées par la lutte pour la réduction des émissions des gaz à effet de serre comme le CO2.
C’est la raison pour laquelle beaucoup de constructeurs de moto proposent aujourd’hui au moins deux types de motorisations pour leurs produits. Que faut-il choisir ?
Les motos dotées d’une telle motorisation contiennent deux moteurs : l’un thermique et l’autre électrique. Il en existe trois générations. Les plus utilisées aujourd’hui sont rechargeables (du point de vue électrique). La réduction des émissions des CO2 est considérable. Ce type de moto est également concerné par le bonus écologique et la prime à la casse. Beaucoup de personnes qui n’ont pas tellement confiance en l’électrique, préfèrent les motos hybrides pour limiter les surprises et y aller progressivement. Si les motos hybrides réunissent les avantages de deux types de motorisation, elle a également leurs inconvénients respectifs, quoique réduits (émission de CO2, temps de recharge électrique long, etc.).
Elle se présente comme la solution la plus propre face aux problèmes écologiques. Les motos à hydrogène libèrent de la vapeur d’eau qui n’a rien de toxique pour l’environnement, bien au contraire qui est très utile pour les différents écosystèmes. En plus, son taux d’efficacité est environ 3 fois supérieur à celui du carburant classique. L’hydrogène donc plus énergétique. Toutefois, il existe toujours des inconvénients. L’hydrogène est un gaz très volatile, inflammable et même explosif. Il se pose alors un problème de conservation. En plus, l’hydrogène existe dans la nature sous forme de dihydrogène (H2). Il faut transformer le dihydrogène en hydrogène. Cette transformation s’opère dans certaines centrales énergétiques qui utilise les énergies fossiles : le problème écologique demeure.
Les alternatives au moteur à combustion interne existent et sont opérationnelles malgré leur relative faible effectivité. Il faut reconnaître que les motos à moteur thermique règnent en grand maitre en termes de performances techniques et même économiques. Par ailleurs, les constructeurs ont amélioré leur taux d’émission de CO2.